Bienvenue mesdames et messieurs et autres hermaphrodites !
Avant toutes choses, je vois à vos airs dubitatifs qu’il faut que j’éclaire vos lumières. Car oui, passé le premier choc de la découverte de cette propriété capitale du kiwi, on peut se demander pourquoi un tel titre. Nos producteurs auraient-ils des problèmes de transit à tel point qu’ils devraient en informer le monde entier ? Oseraient-ils, malgré les barrières morales de notre société, étaler leur vie intestinale au grand jour ? Que nenni ! Ceci n’est ni plus ni moins qu’une banale opération publicitaire. Imaginez Monsieur X, se levant le matin, un mal de ventre insupportable le prenant soudain (car oui, Monsieur X a le transit mauvais). Quelle solutions pour lui ? Demander conseil à ses amis ? Aaaah pauvres fous ! Est-il nécessaire de risquer la boue, les pierres et
Impressionnant n’est-ce pas ?
Cela étant dit, passons aux choses sérieuses. Si le contenant est important, le contenu l’est encore plus (ne pas prononcer le « s » de « plus » et on obtient un effet sonore formidable). Nous allons ici vous parler de ce que nous aimons. Et je vous préviens, ici on ratisse large. L’ensemble pourra paraître hétéroclite, en voyant se côtoyer muffins, John Lennon et Mufasa, mais que cela ne vous rebute pas.
A présent je vais vous laisser tranquille, arrêter de parler de transit (d’ailleurs je m’excuse auprès de ceux qui étaient en train de manger) et laisser place à la suite, en concluant avec une musique qui, il me semble, est appropriée :